vendredi 28 novembre 2008

Cours du 14 Novembre

Nous devons parler de la publication. Avoir une interprétation moins académique du texte de Sloterdijk, aborder le texte de Picon et celui de Haraway.
?: quelles sont les questions que l’on se pose à travers les textes sur les relations AHM, non pas juste cette relation, mais quelles sont ces questions ?
Mr Fol : même à des moments synthétiques de notre réflexion, le texte est objet à une dérivation interne. Le texte de Truong :  « Totalement Inhumaine » montre bien ces questionnements. Comment les M utilisent les H, comme les H le faisaient sur les A domestique à l’époque. Le monde de la technique montrait le monde de la machine dans le texte de Sloterdijk. Pour Lestel, au départ relation HA mais la construction intellectuelle et savante de cette relation appartient au monde de la technique. C’est synchronique du développement du savoir. Par le biais de la science (donc assimilable à la machine). Pour Fontenay c’est axé sur le monde A, état de la conscience et de la connaissance par les moyens de la science et de la technique.(même de manière sommaire comme une calculatrice, des jumelle…il y a toujours une implication des machines). Le renouvellement de la conscience d’un rapport positif avec l’A, ce fait par des moyens techniques et scientifiques donc peut être devons nous l’assimiler à la M.
(Débat dans le monde de l’architecture opposant la science et la technique voulant que l’un préfigure l’autre : science avant technique, or il faut de la technique pour la science. Mais aussi la science établit des théories (comme la philosophie) pour ensuite créer une technique.)
L’épistémologie est importante dans tout ce dont on parle. (important rapport science/technique)
MHA, évolution d’une société disciplinaire à post-disciplinaire (société de contrôle, cf. Foucauld). Mais aussi Deleuze et Guattari. Nous serions passé du 18e siècle (siècle des lumières) vers une logique de flux, non plus disciplinaire mais surtout de contrôle. Car nous sommes débordés par la réalité. (régime despotique). Société de contrôle car lorsque que l’on sait que ce que l’on disait vrai ne l’ai plus mais qu’on le prétends être, alors contrôle. Si on se met dans une logique de signe, on modifie les systèmes de classements, ce sont des logiques de communications et de spectacles. Ces régimes sont effectifs aussi dans le domaine scientifique, comme des revues pseudo scientifiques ayant presque la valeur scientifique. Ex : des personnes sachant philosopher et étant inviter dans le spectacle mais n’en faisant pas usage pour s’adresser aux foules. Il y a alors une fluidification de la discipline scientifique., variation disciplinaire , nous sommes alors plus dans une société disciplinaire mais de contrôle. (exemples de faits non scientifiques qui étaient jugé l’être : clonage humain sans fondement : scientifique coréen et mémoire de l’eau, cela occupa l’énergie scientifique assez longtemps). Organisation du savoir, au 19e, le savoir était déposé et toutes nouvelles hypothèses étaient étudié attentivement puis accepté ou refusé. Comme la société industrielle, mais rajoutons la communication,, au départ elle transmet la valeur mais fini par devenir la valeur. Société du spectacle: Plus que la valeur d’une chose, cette chose crée sa propre valeur, donc mise en péril des valeurs. La société de contrôle ne cherche pas à protéger ses valeurs mais à en créer. Une société disciplinaire contrôle ses discipline.
La relation AHM peut ouvrir de nouvelles perceptions, mais il est toujours dure de penser de manière trial plutôt que dual. Facile de ce dire que nous sommes animal mais machine c’est plus dure…
Anders, Adorno et Horkheimer, AHM, surtout MH mais aussi un peu d’animalité chez Anders.
Parlons de la publication :
Vincent écrivit un mail à la secrétaire générale de l’école et à nous même par rapport à ce projet. Elle désire d’autres éléments pour en parler et il faut une position de l’établissement par rapport à ce genre de demandes. L’école réfléchit à son code de gouvernance : transparence de l’information comme un intranet... Etablir un climat de confiance : entre administration, enseignants et étudiants.. Chaque enseignant devrait se charger d’un projet mais ce serait peut-être plus de participer à un projet finalement .Les doctorants aurons un contrat de doctorat, id un contrat de travail avec un salaire planché (sans plafond) de 2000 € /mois durant 3 ans. C’est comme si vous êtes salariés de l’école. mais si il n’y a pas d’argent il n’y auras plus de doctorats. L’école doit pouvoir dire oui ou non à des projets., il faut donc des critères. Nous devons alors établir un dossier.
Une publication est souvent plus difficile à établir qu’on l’imagine. Tout d’abord si chacun assume sa fonction, cela crée des rubriques. Il est facile de continuer une collection, lorsqu’elle est commencée car elle permet de la compléter tandis qu’il est difficile de changer la forme d’un éléments.
Vincent : quelle est l’ambition de ce projet, si ces très ambitieux peut-être que l’école ne nous suivra pas alors que si cela l’est moins l’école nous suivra.
Mr Fol : la cohérence est dans cette thématique, AHM est le déterminant, donc quoiqu’il arrive ce sera cohérent.
Responsable en communication déchu (quelle est sa fonction ?) : Et si on s’appui plus sur un résumé individuelle de notre fonction, sur des phrases de philosophes…
Réponse : risque de faire trop photo de classe.
Mr Fol : ce projet m’intéressait avant et continuera après ce cour mais pour vous il est bien de le continuer. Il faut en restituer le contenu. Si c’est une publication interne elle sera alors très libre mais si externe il est alors illégale de faire de grandes citations… donc moins libre.
Vincent : pour la forme graphique je proposerais une publication simple comme un journal distribué dans le métro, simple, ou bien une publication fait l’année dernière par des élèves de 3e année très rigoureuse plus dans le contenu que dans la forme.
Faut-il réfléchir au mode de diffusion dès le début, à la quantité, mais surtout les financements.
Mais à qui l’adresser, à nous même, pour toute l’école, d’autres écoles….
Faudrait-il une affiche pour la diffuser plus facilement..
Mr Fol : Donc plus de facilité interne où bien si à l’extérieur, moins de liberté mais plus de contrainte et donc plus intéressant. Favorable plus à l’interne du groupe pour bien avancer et qu’il nous reste une trace et bien sur on pourras le montrer un peu plus si on le souhaite.
Cuistot/comptable : On peut faire une petite revue à exposer sur la mezza avec une projection.
Responsable en communication déchu (quelle est sa fonction ?) : C’est une expos alors ?
Nous décidons donc de faire une publication interne avec comme titre « du reste ».
Mr Fol : On est toujours limité par le temps mais ce n’est pas forcement un problème car on le sait et qu’on ne peut pas tout dire et tout connaitre d’un livre. Donc le temps est impartit et n’est jamais suffisant mais synthétique.
?: Kafka. La colonie pénitentiaire.
La machine faisant l’exécution dessine la sentence dans la chair du condamné. Problème technique alors elle sauve le condamné, humanisation de la machine car elle sauve le condamné et a un langage, « la dessinatrice ». animalisation de l’h. Le condamné s’en va avec le voyageur. Kafka très théâtrale, poids du costume, transpiration, le tas de chaise…Le colonie pénitentiaire, c’est aussi le camps. Plus intéressant que la métamorphose pour l’HA. Il est a classé dans AHM.
Le principe du roman kafkaïen est la machine, toujours une machine mise en place par l’h, il était assez visionnaire, écrit début XX.
La prophétie est toujours revu par l’histoire, car en écrivant ce qui n’existe pas il y a de fortes chances pour que quelque chose arrive mais quand c’est si bien décrit alors c’est une prophétie. Comme existence du totalitarisme Kafka est reconnu.  Jules Verne pour la version industriel.
Stanley Kubrick. THX 1138
Valeur : théorie du banal, elle est complètement désincarner, confession de tout le monde pour tout le monde.
(Une société qui serait notre devenir, la travail comme valeur. Homme esclave pour fabriquer des machines, l’H est en état de survie. Société de contrôle suite société disciplinaire car on est dans une situation de survie. Mais une survie à l’H qu’on est plus. C’est la description d’un autre monde tout assister par la machine, confession, diffuser ses sentiments intérieurs par la machine, comme big Brother, loft story….
Ici il n’y as pas le spectacle, quoique la tv avec scène violente et sexe, trop de médicament : drogue de tout le monde, tout le monde un peu endormie… Il y a des éléments de notre monde y ressemblant Aucune prise de décision de la part des gens. Relation entre deux être prohibée, monde odieux c’est l’amour qui sauve finalement.
La colocataire enlève des sédatifs pour lui faire prendre conscience qu’il peut il y avoir un autre monde. Exclusion de ce qui est bien pour l’humain, la liberté, l’amour montre ce qui n’est pas bien dans se monde pour nous.
Ce film est animal car si l‘h est ainsi c’est par son instinct de survie donc animalité mais non, c’est la machine qui peut être agie sur son instinct de survie. Relation au travail à l’amour… pas d’extériorité dans se film
On peut faire de l’art avec n’importe quoi mais pas tout n’est de l’art c’est le regardeur qui fait l’art…Nuit blanche, commande publique pour une œuvre intime.

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